Quel est ton nom et/ou nom d’artiste ou les deux?
Anya, Endless Fusion.
Ton job ?
Coordinatrice d’actions socio-culturelles en association d’éducation populaire
Depuis quel âge pratiques-tu la danse ?
J’ai commencé le modern Jazz à l’âge de 11 ans. J’ai commencé la danse orientale il y a 15 ans et le tribal fusion il y a 12 ans.
Quelles danses pratiques-tu actuellement ?
Outres les danses orientales, je travaille principalement cette année sur danses indiennes ainsi que sur la house, le dance hall et le waacking en danses urbaines.
Tu as pratiqué d’autres danses avant ?
Un tas !!!! En cours réguliers j’ai fais quelques années de contemporain, de hip hop (new style, LA style). Puis pas mal de stages en danses du monde (tzigane, flamenco, tahitien), en danses urbaines (popping, locking, vogue, krump) et également du burlesque.
Comment es-tu arrivé.e à la danse tribale ?
Un peu comme toutes les danseuses de ma « génération », je pratiquais la danse orientale lorsqu’en 2006 je vis Rachel Brice sur un DVD des Bellydance Superstars, ce fut le coup de foudre.
J’ai appris le Tribal en passant des heures devant des vidéos des indigos et du tribal Fest sur Youtube.
Puis à partir de 2008-2009 j’ai rencontré et me suis formée auprès de professeur.e.s. qui sont à l’origine de ce courant.
Tu pratiques quels styles ?
Tribal Fusion, ITS format Unmata, ATS® format Fat Chance.
Si tu devais te donner une spécialité par rapport à cette pratique ?
Dur à dire… Je me cherche encore. J’aime un tas de « styles », principalement les danses de semi-impro, le côté « old school »/cabaret des années 20 et la fusion urbaine (surtout oriental-house, c’est tellement un challenge!).
Tu fais partie de quelle tribu ?
Endless Fusion.
Quelles sont tes autres passions ?
La nature, jardiner, lire, voyager, faire des rencontres, bricoler, passer des moments en famille et entres amis.
Où peut-on voir ton/votre travail ?
https://anyadanse.wixsite.com/endless-fusion
https://www.instagram.com/anya.endlesstribe/
https://www.facebook.com/endlessfusion/
Un mot de la fin ?
La danse orientale tribale nourrie le corps et l’esprit.
Elle (re)donne confiance et crée du lien, du liant et du plaisir. Bien sûr, c’est un microcosme… il y aura toujours des personnalités avec qui l’on s’accorde (ou non), des déceptions à hauteur des bonheurs incroyables que l’on peut vivre, la notion de territorialisme entre professeurs, un manque de communication et de structuration dans ce milieu.
Malgré tout ça, je kiffe ce milieu et j’ai la chance d’être entourée de personnes/amies/danseuses/élèves/professeurs fabuleux dans ma Bretonie du Far Far West.